Parcours David Galtier

Je suis issu de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr (promotion Gal Lasalle 79/81) et j'ai choisi la gendarmerie dès ma sortie d'école. Ma carrière s'est déroulée :

 

- sur le terrain, principalement en zone Sud (Perpignan, Montpellier, Nice, Marseille), de l'escadron de gendarmerie mobile au commandement de la région zonale, excepté les postes de commandant de la section recherches à Paris et d'instructeur en école (Coëtquidan);

- à l'administration centrale (DGGN) et en cabinet ministériel (défense), dans la dominante opérationnelle de police judiciaire mais avec également avec une orientation vers les ressources humaines (chef du bureau personnel Officier, conseiller du ministre, gardien du statut militaire en qualité d'inspecteur général des armées-gendarmerie). 

 

J'ai suivi les cours de l'école de guerre et je fais partie de la 54e session du Centre des hautes études militaires et 57e session des hautes études de la Défense nationale. Je suis commandeur de la légion d'honneur et titulaire de nombreuses décorations françaises et étrangères.

 

Après mon Adieu aux armes en décembre 2018, j’ai travaillé une année en qualité de conseil en affaires générales (micro-entrepreneur), loin de la capitale et j’ai écrit un livre dédié aux grandes affaires criminelles dirigées ou coordonnées pendant ma carrière (Mon combat contre le crime chez R.LAFFONT). Au passage, j'ai composé avec mon ami René Baldaccini, le neveu du sculpteur César, un spectacle musical autour de notre égérie nationale « Marianne »,sur les conseils de Robert Hossein malheureusement parti trop tôt. La musique et l'écriture sont de belles passions !

 

En 2020, j’ai pris une toute autre direction, initiée avec Martine Vassal, présidente du département des BDR et de la métropole Aix-Marseille-Provence. Je connaissais l'intéressée dans mes précédentes fonctions et elle m'a proposée de rejoindre son combat pour la métropole et la ville de Marseille. Sans étiquette mais avec son appui, j'ai remporté mon duel dans les 13 et 14e arrondissements de Marseille, mais nous avons perdu la ville car l'élection se fait par secteur comme à Paris. En revanche, la Métropole a été remportée et je suis devenu vice-président de cette entité, en charge de la politique sportive. De son côté, le président de la région Sud Renaud Muselier m'a demandé de le soutenir : j'ai accepté et nous avons conservé la région. Je suis donc conseiller régional mais sans mandat particulier.

Bien que mon agenda puisse paraître chargé, je dispose de larges plages de disponibilité car mes fonctions politiques n'excèdent pas le niveau local, comme je l’ai promis à ma famille.